Avantages assurance santé senior

Avantages assurance santé senior

Avantages assurance santé senior ? Quels sont-ils ? De quoi parle t’on vraiment ? Avec l’âge, les personnes deviennent de plus en plus vulnérables et sujettes à de nombreuses maladies et soins, en termes de santé. Dans cette même perspective, de nombreuses mutuelles santé proposent une offre de mutuelle santé, conçue spécialement pour cette tranche d’âge, suite à son besoin très récurent de soins et de médications. Il s’agit de l’assurance santé senior.

Alors, quels sont les avantages dont cette génération pourrait bénéficier après son adhésion à une mutuelle santé ?  Est-elle vraiment bénéfique en termes de services qu’elle propose ?

EpargneDirect vous révèle tous les secrets à propos de l’assurance santé senior ! C’est parti !

L’assurance santé senior : un service adapté aux besoins de santé de la génération senior

En se référant aux besoins majeurs des sujets âgés, la mutuelle senior s’intéresse principalement aux problèmes de santé les plus récurrents de cette tranche d’âge, à savoir : les garanties en hospitalisation, les problèmes de vue, d’audition ainsi que de dentition.

Avantages assurance santé senior : aperçu sur la prise en charge des besoins d’hospitalisation senior

Coûtant cher et pouvant atteindre des milliers d’euros, il est indispensable de souscrire à une mutuelle senior prenant en charge l’hospitalisation, en optant pour de bonnes marges de remboursement. Conçu spécialement pour la génération sénior sujette davantage aux maladies, l’assurance santé senior offre à cette tranche d’âge d’excellents remboursements en termes d’hospitalisation, qui se présentent dans ce qui suit :

  • La prise en charge du forfait journalier d’hospitalisation et de l’ensemble des frais de la période d’hospitalisation.
  • La prise en charge des frais de la chambre particulière et des services de confort, notamment : la télévision, le téléphone ou l’accès Internet.
  • La prise en charge des dépassements d’honoraires pour ce qui est des interventions en relation avec la chirurgie et l’anesthésie

Avantages assurance santé senior : aperçu sur la prise en charge des besoins auditifs, optiques et dentaire chez les seniors

Baisse de l’audition :

Les problèmes d’audition sont très récurrents en France, en atteignant près de 7 millions de personnes de cette population, avec un pourcentage de 80 % réservé uniquement aux personnes âgées de plus de 50 ans.

Ainsi, parmi les avantages majeurs de l’assurance santé senior, nous pouvons noter le remboursement des appareillages auditifs, des audioprothèses ou des implants.

Diminution de l’acuité visuelle :

Etant fréquentes à partir de l’âge de 45 ans, les problèmes de baisse d’acuité visuelle sont pris en charge et remboursés par l’assurance santé senior, que ce soit pour les consultations, les verres correcteurs ou encore les chirurgies réparatrices de l’œil.

Dégradation de la santé bucco-dentaire :

Étant altérée suite à l’avancement en âge, les personnes âgées sont exposées à une santé bucco-dentaire dégradée qui peut se détériorer davantage, suite à plusieurs facteurs, notamment : un manque d’hygiène dentaire, un flux salivaire diminué, ou encore une alimentation plus riche en sucre.           

Heureusement que l’assurance santé senior est là ! Cette dernière vient en aide aux seniors, en leur remboursant leurs soins dentaires. Ainsi, ces derniers ont même la possibilité d’opter pour des prothèses dentaires qui leur permettent de palier la plupart des problèmes de déchaussement ou de sensibilité des gencives qu’ils rencontrent.

Pourquoi ne pas en bénéficier, alors que le remboursement est prévu pour cette tranche d’âge ? Qu’attendez-vous encore ?

Avantages assurance santé senior : comment choisir correctement sa mutuelle senior ?

Étant donné que le système de la sécurité sociale, ne rembourse pas l’ensemble des garanties, il s’avère crucial de choisir avec une grande attention sa mutuelle senior.

Cependant, à l’égard du grand nombre d’offres de compagnies d’assurances existantes de nos jours, la tâche du choix de sa mutuelle senior s’avère être compliquée.

Ainsi, dans ce même sens, il est recommandé de comparer toutes les offres proposées par les assureurs, en s’intéressant à la fois au rapport prix / qualité de chaque offre.

En vue de vous faciliter la tâche, EpargneDirect vous propose d’accéder à un comparateur mutuelle santé senior en ligne, qui s’avère très efficace dans ce cas. Vous n’aurez qu’à effectuer quelques clics ; et le tour est joué ! Vous serez en mesure de choisir l’offre qui vous serait la plus convenable, selon votre situation.

Différence entre mutuelle et assurance santé ?

Différence entre mutuelle et assurance santé ?

Quelle est la différence entre mutuelle et assurance santé ? Ne prenant pas en charge l’intégralité des frais de santé, le régime général s’avère être insuffisant, en termes de remboursement. C’est pour cette raison qu’il faut penser à souscrire à une assurance santé, en vue d’avoir des remboursements complémentaires.

Êtes-vous à la recherche de compléments de remboursements, en dépit de ceux de votre régime général ? Avez-vous déjà entendu parler de compagnies d’assurance santé ?

Si vous ne connaissez pas encore la différence existante entre mutuelle et assurance santé, continuez à lire cet article jusqu’à la fin. EpargneDirect vous explique tout et vous révèle toutes les informations nécessaires à propos de remboursements complémentaires !

Restez branchés !

Quelle différence existante entre la mutuelle et l’assurance santé ?

Ayant un but non lucratif et régie par le code de la mutualité, la mutuelle propose des garanties de base, en vue de bien veiller sur votre santé. Il s’agit d’une compagnie immatriculée au registre national des mutuelles qui mutualise les cotisations de ses adhérents, sans générer aucun bénéfice. En effet, celle-ci repose sur un financement solidaire qui se base principalement sur les cotisations des membres. Toutefois, ses remboursements sont souvent insuffisants pour couvrir l’ensemble de vos frais médicaux.

A l’encontre de la mutuelle, l’assurance santé est régie par le code des assurances et a un but lucratif. Ainsi, les bénéfices gagnés sont versés aux actionnaires. En d’autres mots, l’assurance santé présente une offre commerciale.

En effet, l’assurance santé a pour but ultime de compléter les prestations des régimes obligatoires, pour un meilleur remboursement. Par ailleurs, celle-ci dispose également d’un avantage très important, étant donné qu’il prend en charge des services qui ne sont pas adoptés par la Sécurité sociale, comme c’est le cas pour les prothèses auditives, l’optique, les soins dentaires ainsi que la médecine douce.

La mutuelleL’assurance santé
Régie par le Code de la mutualitéRégie par le code des assurances
Entité à but non lucratif (ne génère pas des bénéfices)Entité à but lucratif (génère des bénéfices). Une offre commerciale
Mutualisation des cotisationsBénéfices versés aux actionnaires
Garanties de basesGaranties complémentaires qui ne sont pas pris en charge par la mutuelle ( des éventuels dépassements d’honoraires, des médicaments non remboursés, des vaccins non obligatoires … )

Tableau récapitulatif des différents points principaux de divergence entre la mutuelle et l’assurance santé

Comment souscrire à la mutuelle et à l’assurance santé ?

Souscription à la mutuelle :

Contrôlées par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), comme c’est le cas des autres organismes assureurs, les mutuelles requirent pour l’adhésion, la signature d’un bulletin d’adhésion au règlement de la mutuelle et non pas à un contrat individuel.

Souscription à l’assurance santé :

Pour ce qui est de la souscription à l’assurance santé qui offre des services complémentaires, il s’avère primordiale de planifier une première phase de réflexion, en vue de définir les besoins recensés et le budget qui pourrait être alloué à ce service.

Ensuite, il est impératif de contacter différents organismes assureurs, à travers différents canaux, notamment par :

  • Téléphone
  • Déplacement sur place
  • Courrier

Finalement, après avoir choisi la compagnie d’assurance santé qui vous est convenable, il vous sera demandé de regrouper des documents nécessaires, en vue de procéder à la souscription.

A titre indicatif, nous pouvons citer la liste non exhaustive suivante :

  • nom, prénom, adresse, date et lieu de naissance du contractant et de ses ayants droit ;
  • numéro de Sécurité social et régime principal de l’assuré ;
  •  RIB ;
  • attestation de radiation en cas de résiliation de mutuelle.

En général, le montant de cotisation du premier mois est facturé lors de la demande de l’adhésion.

Litige assurance qui contacter…

Litige assurance qui contacter

Litige avec une assurance : qui contacter et obligations de l’assureur ? Etes-vous en litige avec votre assureur ? Etes-vous en désaccord sans pouvoir trouver aucune solution, même après avoir contacté le service client, le conseiller ou l’agent général ? Que ce litige soit en relation avec une indemnisation insuffisante, un mauvais service ou tout autre problème, vous n’avez plus qu’un seul choix devant vous, celui de faire appel à la médiation de l’assurance, en vue de prendre connaissances des démarches à faire.

N’avez-vous pas d’idée à propos de la médiation de l’assurance et de toute la procédure ?

Ne vous inquiétez pas, EpargneDirect vous livre la solution !

Litige assurance qui contacter : tenter d’abord de régler le litige avec votre assurance

En cas de litige, veillez à contacter dans un premier temps, votre assureur, en vue d’essayer d’aboutir à une solution amiable, à travers laquelle les deux parties prenantes seraient satisfaites.

Ainsi, veillez tout d’abord, à informer votre assureur à propos du problème survenu, et ce à travers une lettre recommandée avec accusé de réception. Si vous n’obtenez pas d’accord, prenez contact avec les services chargés du règlement des litiges, qui pourrait avoir plusieurs autres noms, notamment : “service client”, “service réclamation” ou “direction de la qualité”). Pour trouver leurs coordonnées, vous n’avez qu’à les chercher dans les conditions générales du contrat.

Si cette étape n’aboutit à aucune solution, vous n’avez plus qu’un seul choix : saisissez le médiateur !

Litige assurance qui contacter : la médiation de l’assurance

La médiation de l’assurance représente une association qui assiste les particuliers ( les consommateurs ) qui rencontrent des difficultés avec un assureur, à travers un dispositif établi au préalable. Ainsi, lorsqu’un litige se présente sur l’application ou l’interprétation du contrat souscrit entre un assureur et un assuré.

En dehors de toute procédure judiciaire, la médiation de l’assurance vise à aboutir à un accord à l’amiable entre le consommateur et l’assurance.

Par quels biais pourrait-on faire appel à la médiation de l’assurance ?

Rien de plus simple pour contacter la médiation de l’assurance !

En effet, il suffit juste de remplir un dossier sur le site de la médiation d’assurance ou d’envoyer son dossier (version papier) à l’adresse suivante : « La Médiation de l’Assurance TSA 50110, 75441 PARIS Cedex 09 ».

Les papiers demandés sont les suivants :

  • Le descriptif détaillé du litige ;
  • La réponse de l’assurance ;
  • Les contrats concernés par le litige ;
  • Tous les documents utiles au traitement du dossier.

Ces derniers doivent être de préférence des originaux.

En amont de la réception de ces papiers par le médiateur, celui-ci dispose d’une durée de 21 jours, en vue de déterminer l’éligibilité du dossier. Ainsi, après avoir confirmé la prise en charge du dossier, le médiateur élabore un dossier bien détaillé et propose une solution à l’assuré qui ne doit pas tarder plus de 3 mois.

Attention :

Il s’avère extrêmement important de noter que la médiation fait part de son propre avis. Cependant, cette dernière n’émet pas une décision finale. Ainsi, l’assuré a tout le droit de refuser la proposition du médiateur. Cette décision finale n’empêche pas l’assuré de se rendre en justice. Dans cette même perspective, la décision finale émise par la justice pourrait être différente de celle prise par le médiateur.

Quelles sont les conditions à respecter en vue d’avoir la possibilité de bénéficier de l’assistance de la médiation de l’assurance ?

En vue de bénéficier de la médiation de l’assurance, il est impératif de respecter l’ensemble des conditions suivantes :

  • Avoir déjà tenté de régler son litige avec l’assureur, en premier lieu, et disposer d’une preuve qui présente les éléments de fonds sur lesquels la réclamation en question s’est basée.
  • Il doit s’agir de la première fois dans laquelle le litige est examiné par un autre médiateur ou un tribunal.
  • Constituer le champ de compétence du médiateur : c’est-à-dire que le contrat doit être souscrit auprès d’une entreprise d’assurance ou d’un intermédiaire couplé à la médiation de l’assurance, qui doit être de l’ANACOFI (Association nationale des conseillers financiers) ou également membre de la CSCA (Chambre syndical des courtiers d’assurance).

Comment sont établis les tarifs d’assurance auto ?

Comment sont établis les tarifs d'assurance auto ?

Comment sont établis les tarifs d’assurance auto ? Vous posez-vous les questions suivantes : « Comment est calculé le tarif d’une assurance auto ? », « Quels sont les variables qui entrent en jeu dans le calcul des tarifs d’une assurance auto ? », sans trouver aucune réponse.  

En effet, la première chose à savoir à propos du calcul des tarifs d’assurance automobile, est que les tarifs des différents services d’assurance automobile sont choisis librement par les sociétés d’assurance.

Mais attendez, ce n’est pas tout ce qu’il faut savoir ! si ce sujet vous intéresse, n’hésitez pas à continuer la lecture de cet article !

EpargneDirect vous révèle tous les critères de la mise en place des tarifs d’assurance automobile. Ne ratez rien, on y va !

Comment sont établis les tarifs d’assurance auto ? les critères se rapportant au véhicule

Comme va tenter de le démontrer ce premier article, en vue de déterminer les tarifs d’assurance automobile, l’assureur prend en compte une multitude de critères qui concernent la voiture, objet d’assurance.

Ainsi, nous pouvons noter les critères suivants :

  • La marque, le modèle ainsi que la série de la voiture. D’ailleurs, il s’avère crucial de noter que la délégation à la sécurité routière (DSC) identifie les véhicules lourds ou puissants comme les principaux responsables d’accident sur les routes. Ainsi, présentant un taux d’accidentalité plus important, et par conséquent, un risque plus grand à assurer, les assureurs proposent un tarif élevé dans ce cas.
  • La valeur d’achat et le nombre d’année d’existence estimé de la voiture.
  • Le mode d’achat (neuf, d’occasion, leasing…).
  • La puissance fiscale du véhicule.
  • L’usage du véhicule (kilométrage annuel, fréquence d’utilisation).

Par ailleurs, en dépit de tous les éléments qui se rapportent à la valeur du véhicule, les assureurs s’intéressent également au type de motorisation et au carburant utilisé, en vue de définir les tarifs de l’assurance.

Etant donné que l’usure et le coût des réparations peuvent varier d’un mode de fonctionnement à un autre, il est évident que ces éléments en question ont un impact direct et significatif sur le calcul de la prime d’assurance. Ainsi, nous pouvons noter ce qui suit :

  • Essence ;
  • Diesel ;
  • Hybride ;
  • Électrique.

Dans cette même perspective, il s’avère également crucial d’évoquer les véhicules qui disposent d’équipements de sécurité (airbag…) ou de systèmes embarqués d’aide à la conduite (ABS, aide au stationnement) ont des tarifs plus avantageux, étant donné qu’ils permettent une conduite plus sécurisée et diminuent plusieurs risques d’accidents.

Les critères se rapportant au conducteur :

A l’encontre des critères en relation avec le véhicule, le profil du conducteur s’avère également être un élément crucial. En effet, une fois l’assureur a une idée sur les antécédents du conducteur sur la route, celui-ci propose des tarifs qui peuvent varier considérablement.

Ainsi, parmi les critères auxquels l’assureur fait attention par rapport au profil du conducteur, nous pouvons citer ce qui suit :

  • Âge, sexe, situation maritale ;
  • Profession ou activité ;
  • Type de permis (B, conduite accompagnée, étranger…) ;
  • Ancienneté du permis.

Dans cette même optique, il faut noter que pour les profils représentant plus de risque, comme c’est le cas pour les jeunes conducteurs, la prime d’assurance qui leur est calculée est majorée, pour une durée des premières trois années suivant l’obtention du permis de conduire.

Comment sont établis les tarifs d’assurance auto ? les antécédents de conduite du conducteur concerné

Comme l’indique le titre ci-dessus, les antécédents de conduite sont pris en considération lors de la précision du tarif d’assurance.

En effet, lorsque vous décidez de souscrire à un nouveau contrat d’assurance auto, votre assureur vous demandera de fournir un relevé d’information qui comportera l’ensemble de vos antécédents par rapport aux 5 dernières années (sinistres, responsabilité, etc.), ce qui lui permettra de connaitre votre bonus-malus. Ce bonus-malus représente un coefficient de réduction-majoration. En d’autres termes, il s’agit d’une formule de réduction ou de majoration de la prime d’assurance, à chaque échéance annuelle.

Ainsi, un bonus (en cas d’une année passée sans problèmes routiers) vous fera bénéficier d’une réduction. Tandis que pour les conducteurs ayant déjà un mauvais historique de conduite au cours de l’année, auront un bonus-malus, c’est-à-dire que leurs frais d’assurance vont considérablement augmenter.

Meilleur moment pour changer d’assurance auto

Meilleur moment pour changer d'assurance auto

Quel est le meilleur moment pour changer d’assurance auto ? N’êtes-vous plus satisfait de l’assurance auto à laquelle vous avez déjà souscrit ? Voulez-vous opter pour une autre assurance auto ? N’avez-vous pas une idée à propos du meilleur moment du changement de l’assurance auto ?

Restez ici ! Cet article est pour vous !

Dans ce qui suit, EpargneDirect va vous révéler le meilleur moment ou vous pouvez changer votre assurance auto. On y va !

Pourquoi penser à changer son assurance auto ?

Il existe de nombreuses raisons qui peuvent amener l’automobiliste à commencer à penser au changement de son assurance auto. Parmi ses causes, nous pouvons citer les éléments suivants :

  • L’augmentation du prix de l’assurance auto actuelle.
  • Insuffisance en termes de garanties actuelles : à la recherche de nouvelles garanties.
  • Indemnisation insuffisante de l’assurance auto actuelle.
  • Plus de besoin d’assurance auto en raison de la vente de son véhicule.
  • Services proposés ne correspondant pas aux attentes de l’automobiliste.
  • Mauvaise qualité du service client.

Quel est le meilleur moment pour changer d’assurance auto ?

Grâce à la loi Hamon, mise en vigueur le 01 janvier 2015, il est devenu désormais possible de résilier à tout moment votre contrat d’assurance auto, après la première année de contrat.

En effet, La loi Chatel de 2005 offre aux assurés la possibilité d’être informés par leur assureur à propos de la date d’anniversaire de leur contrat. Ainsi, votre assureur est censé vous envoyer par courrier un avis d’échéance annuel, 3 mois avant ou 15 jours au plus tard.

Dans ce même sens, si aucun avis d’échéance ne vous a été envoyé, sachez que vous êtes totalement libre de changer votre assurance auto sans aucun frais à payer.

En guise de récapitulation, vous êtes en mesure de changer votre assurance auto, une fois votre contrat arrive à échéance, sans pénalités ni aucun frais supplémentaire.

Pour mener à bien votre résiliation, il suffit d’envoyer à votre ancien assureur une demande de résiliation par lettre recommandée, et le tour est joué.

Dès lors, c’est à votre nouvel assureur de s’occuper de l’ensemble des démarches de résiliation de votre assurance auto déjà demandée auprès de votre ancien assureur.

Quels sont les documents nécessaires pour changer d’assurance auto ?

Si vous avez déjà pris votre décision et que vous cherchez à vous renseigner à propos des documents demandés dans le changement d’assurance auto, nous vous présentons dans ce qui suit, à titre indicatif, une liste non-exhaustive de ces derniers :

  • Votre relevé d’informations envoyé par votre ancien assureur ;
  • Une copie de votre permis de conduire ;
  • Une copie du certificat d’immatriculation (carte grise) du véhicule assuré : il s’agit de prendre connaissance des caractéristiques de la voiture. En effet, au moment du changement d’assurance auto, la copie de la carte grise permet aux assureurs de calculer la prime d’assurance auto.

Quelles sont les étapes efficientes à suivre après avoir décider de changer d’assurance auto ?

Etape 1 : La recherche de meilleures offres des autres compagnies d’assurance

En vue de souscrire à une meilleure assurance auto, il s’avère crucial d’étudier celle actuelle, dans un premier temps.

Ainsi, vous devez avoir une idée précise sur les points suivants, à propos de votre assurance auto actuelle :

  • Le tarif de votre assurance auto actuelle.
  • Les garanties et les plafonds de remboursements de votre assurance auto actuelle.
  • Les délais d’indemnisations.
  • Les moyens de remboursement.

Une fois que vous avez déjà bien étudié l’offre de votre assurance auto actuelle, il vous serait plus facile de la comparer à d’autres compagnies d’assurances, en vue de choisir la meilleure, en termes de rapport qualité / prix.

Etape 2 : La souscription à un nouveau contrat d’assurance auto

Après avoir trouvé l’assurance auto qui vous est la plus convenable, il est temps de résilier votre contrat actuel.

Rendez-vous à l’agence de l’assurance auto que vous avez choisie et souscrivez à l’offre pour laquelle vous voulez opter, étant donné qu’il est interdit de conduire, sans avoir souscrit à une assurance de véhicule.

Etape 3 : La résiliation du contrat non voulu

Dès lors, vous êtes en mesure de résilier votre ancien contrat.

Qu’attendez-vous ? vous avez entre vos mains maintenant toutes informations nécessaires pour changer votre assurance auto ? allez-y !

Garanties d’une assurance auto

Garanties d'une assurance auto

Quelles sont les garanties d’une assurance auto ? Responsabilité civile, vol, protection juridique… nos éclairages. Pour ce qui est de l’assurance auto, il existe de nombreuses garanties en assurance auto, qui pourraient être adoptées selon différentes situations.

Si vous vous posez les questions suivantes : « Pour quelles garanties en assurance auto dois-je opter ? », « Quelle est la différence existante entre les différentes garanties en assurance auto ? », cet article est pour vous.

Dans ce qui suit, EpargneDirect vous offre des éclairages pour tout savoir à propos des garanties en assurance auto.

N’hésitez pas à lire cet article jusqu’à la fin, on vous révèle toutes les facettes des garanties en assurance auto !

La garantie Responsabilité Civile de l’assurance auto

Il s’agit du premier niveau de protection disponible. En d’autres mots, la garantie dit de Responsabilité Civile de l’assurance auto, appelée également « assurance au tiers » est le minimum obligatoire (demandé par la loi) et imposé pour tous les propriétaires de véhicules à moteur. Cette garantie comprend à la fois les dommages corporels ou matériels, causés à autrui par son véhicule dans le cas d’une blessure d’un piéton ou d’un passager, d’un accident de la route…

En général, celle-ci est souvent complétée par d’autres garanties facultatives, étant donné que lors d’un accident dont le conducteur est le responsable, la garantie Responsabilité Civile prend en charge l’ensemble des dommages matériels (dégâts suite à un convoyage de produits dangereux, dégâts suite à une course auto, dommages volontairement causés auprès d’autres personnes, problèmes liés au cadre professionnel – couvert par un autre type d’assurance) et corporels occasionnés aux victimes. Cependant, il faut noter que cette dernière ne prend pas en charge les blessures de l’automobiliste ni ses propres dégâts matériaux.

La garantie vol :

Comme son nom l’indique, la garantie vol couvre l’ensemble des dommages consécutifs au vol. Ainsi, l’automobiliste concerné sera indemnisé, en cas de vol total ou partiel de son véhicule, une fois souscrit à ce type de garanties.

La garantie incendie :

Comme c’est le cas pour la garantie vol, en cas de souscription à la garantie incendie, en cas de ce phénomène, le conducteur sera indemnisé.

La garantie bris de glace :

Comme l’indique son intitulé, la garantie bris de glace prend en charge les dommages causés à la fois au pare-brise ainsi qu’à l’ensemble des vitres du véhicule assuré, en cas de souscription à ce type de garantie.

La garantie protection juridique :

S’insérant dans les garanties facultatives, cette formule d’assurance auto vise à couvrir à prendre en charge les démarches judiciaires qui font suite à un litige avec un tiers.

En d’autres mots, il s’agit d’une garantie permettant de mettre en place une assistance juridique si vous rencontrez un litige avec un tiers.

Ainsi, ce type de garanties peut intervenir dans plusieurs cas, notamment :

  • Avoir la réparation pour un éventuel préjudice causé par un tiers.
  • Être défendu sur un éventuel préjudice que l’automobiliste aurait causé à un tiers.
  • obtenir des conseils d’un expert ou d’un avocat.

Pour quelle assurance auto opter mis à part celle de la garantie Responsabilité Civile ?

En dépit de la garantie Responsabilité civile, appelée également l’assurance au tiers, les automobilistes peuvent recourir également à la souscription à différentes autres garanties, selon leurs profils et besoins, pour une meilleure protection et prise en charge.

Dans ce même sens, à part l’ensemble des types de garanties que nous venons d’évoquer dans ce qui précède, il faut également évoquer l’assurance tous risques, qui comme l’indique son nom, est la plus complète et la plus protectrice des formules d’assurance voiture.

Ainsi, cette dernière prend en charge l’ensemble des risques auxquels un conducteur peut se trouver confronté.

L’assurance auto est-elle obligatoire ?

L'assurance auto est-elle obligatoire ?

L’assurance auto est-elle obligatoire ? Quels sont les risques en cas de défaut d’assurance auto ? En France, selon la loi, tout propriétaire d’un véhicule terrestre à moteur doit obligatoirement souscrire à une assurance auto. Toutefois, suite à un manque d’informations ou à des raisons financières, il se peut qu’un individu ne souscrit pas à une assurance auto.

Alors, en cas de défaut d’assurance auto, quels sont les risques auxquels le conducteur est exposé ? Y a-t-il des sanctions pénales mises en œuvre lors de cette situation ?

A travers cet article, EpargneDirect vous dit tout ! Allons découvrir !

L’assurance auto est-elle une obligation ?

Selon L’article L 211-1 du Code des assurances : “Toute personne physique […], dont la responsabilité civile peut être engagée en raison de dommages subis par des tiers résultant d’atteintes aux personnes ou aux biens dans la réalisation desquels un véhicule est impliqué, doit, pour faire circuler celui-ci, être couverte par une assurance garantissant cette responsabilité, dans les conditions fixées par décret en Conseil d’Etat.”

Il est entendu par véhicule « tout véhicule terrestre à moteur, c’est-à-dire tout véhicule automoteur destiné à circuler sur le sol et qui peut être actionné par une force mécanique sans être lié à une voie ferrée, ainsi que toute remorque, même non attelée »

Article L 211-1 du Code des assurances

Ainsi, il s’avère que l’assurance auto est obligatoire, même en optant pour le minimum légal, à savoir : l’assurance au tiers, qui représente la garantie responsabilité civile du conducteur. En effet, cette garantie comprend à la fois les dommages corporels et/ou matériels, causés à autrui par son véhicule dans le cas d’une blessure d’un piéton ou d’un passager, d’un accident de la route…

A titre indicatif, voici une liste non-exhaustive des véhicules auxquels il faut obligatoirement souscrire à une assurance auto :

  • Voiture
  • Mini-moto
  • Engin à 2 et 3 roues
  • Quads
  • Tracteur-tondeuse

Quelles sont les sanctions pénales appliquées en cas de défaut d’assurance auto ?

Etant considéré comme un délit, le fait de conduire sans souscription à aucune assurance risque d’exposer le conducteur à plusieurs sanctions pénales, que nous allons détailler dans ce qui suit :

Une suspension du permis de conduire

Cette sanction peut s’étaler sur une durée allant jusqu’à 3 ans de suspension.

Toutefois selon la situation, le juge pourrait opter pour les sanctions suivantes :

  • Une confiscation ou une immobilisation du véhicule.
  • Une interdiction de conduire tout au long de 5 ans.
  • Un stage de sensibilisation à la sécurité routière, en obligeant le conducteur à payer ses frais.
  • Des travaux d’intérêt général.

Le paiement d’une amende forfaitaire

Le montant de base de cette amende est de 500 €. Toutefois, il faut noter que ce dernier est susceptible d’être minoré, en baissant la somme jusqu’ à 100 €, en cas de paiement dans un délai ne dépassant pas 15 jours.

En revanche, le montant de l’amende peut être majoré jusqu’à 1000 € si le paiement n’est pas effectué dans un délai d’un mois.

Par ailleurs, lors de situations de récidive ou de multiples délits, le montant de l’amende peut augmenter jusqu’à la somme de 3 500 euros.

Une annulation du permis de conduire

Une fois cette sanction appliquée par le juge, le conducteur devra repasser son permis, une nouvelle fois.

Cependant, quelques fois, le juge pourrait opter pour une interdiction de passer le permis tout au long d’une période de 3 ans.

L’assurance auto est-elle obligatoire ? Pourquoi la loi oblige-t-elle le conducteur à souscrire à une assurance auto…

Si la loi le conducteur à souscrire à une assurance auto, il s’avère que cet acte n’a pour but que la protection du propriétaire du véhicule ainsi que des victimes potentielles, en cas d’accident auto ou de sinistre routier.

Ainsi, le minimum requis par la loi est la souscription à la formule auto minimale qui comprend la Responsabilité Civile ; en vue d’indemniser les tiers en cas d’accident responsable. En d’autres mots, il s’agit d’une garantie d’assurance auto qui permet de couvrir les dommages que pourrait engendrer la voiture assurée à un autre véhicule ou à une tierce personne, notamment : un passager, un piéton, un autre conducteur …).

Comment comparer les assurances auto ?

Comment comparer les assurances auto ?

Comment comparer les assurances auto ? Quelle formule choisir ? Comment utiliser un comparatif d’assurance auto. Si vous êtes à la recherche de bonnes garanties d’assurance auto au meilleur prix, EpargneDirect vous éclaire tout !

Vous sentiez-vous perdu devant plusieurs offres d’assurance auto proposées : assurance auto au kilomètre, assurance auto tous risques… ?

Vous demandez-vous comment déterminer la meilleure assurance auto ? Telle est la question récurrente que se posent l’ensemble des propriétaires d’une voiture. Pour trouver la meilleure assurance auto, il vous faut juste préciser vos besoins et de déterminer le niveau de garantie dont vous avez besoin.

Restez branchés sur EpargneDirect pour tout comprendre !

Comment comparer les assurances auto : quelle formule d’assurance auto choisir ?

Définissez d’abord vos besoins ! Cherchez-vous une possibilité de prêt ou de remplacement de votre véhicule en cas de besoin ? Etes-vous à la quête d’une garantie qui prend en charge les cas d’incendies ou de vols ? Une fois que vos besoins sont précisément déterminés, vous serez en mesure de faire le choix optimal de la formule d’assurance auto qui répond à vos

L’assurance auto au tiers

Nommée également l’assurance responsabilité civile, il s’agit de la garantie minimale que pouvez choisir, étant donné que la France exige une assurance auto pour chaque véhicule.

Prenant en charge les dommages matériels ainsi que corporels causés à une tierce personne, l’assurance auto au tiers semble être le choix idéal pour les automobilistes à petit budget.

Toutefois, il s’avère extrêmement important de signaler que cette formule ne couvre pas les dommages subis par le conducteur.

L’assurance au tiers plus

Si les options prises en charge dans la première formule ne vous conviennent pas et vous cherches des niveaux de garantie plus importants, L’assurance au tiers plus, nommée également l’assurance intermédiaire pourrait vous convenir.

En effet, cette deuxième formule couvre plus de garanties, notamment celles en relation avec les cas de vols ou d’incendies.

Prenant en charge plus d’options de garanties par rapport à la première formule et étant moins chère que l’assurance tous risques, l’assurance au tiers plus représente un excellent rapport qualité/prix.

L’assurance tous risques

Comme l’indique son intitulé, L’assurance tous risques représente le contrat d’assurance auto le plus complet, étant donné qu’il comprend à la fois la garantie des dommages causés à une tierce personne, mais également les dommages subis par le conducteur.

C’est l’assurance la plus choisie par les français. En effet, presque 50% des automobilistes français optent pour la couverture tous risques.

Comment comparer les assurances auto ?

Après nous être penchés sur les différentes formules d’assurance auto existantes, nous allons répondre dans ce qui suit à la question suivante : « Comment comparer les contrats d’assurance auto ? »

Comparer le coût des principales garanties

En vue de bien comparer les contrats d’assurance auto, l’élément crucial auquel il faut accorder une grande importance se présente dans la comparaison des principales garanties. Plus explicitement, il s’agit d’établir une comparaison qui s’intéresse non seulement aux coûts de la garantie obligatoire de responsabilité civile, mais également à l’ensemble des couvertures complémentaires usuelles, notamment pour ce qui est du bris de glace, du vol ainsi que des incendies.

En outre, il s’avère également extrêmement important de s’intéresser à la garantie individuelle du conducteur, qui demeure cruciale en termes de protection personnelle de l’assuré, en dépit de toutes les autres garanties dommages auxquelles ce dernier est déjà souscrit.

Dans ce même sens, il faut noter que le coût de cette garantie varie largement, en fonction de plusieurs variables, qui peuvent se présenter comme suit : la puissance du véhicule, l’âge, l’expérience et le coefficient de réduction-majoration (bonus-malus), dont le conducteur bénéficie.

Simuler le coût global d’un sinistre

En vue d’établir une comparaison efficace entre plusieurs devis d’assurance auto, il s’avère très important de s’intéresser à la simulation du coût d’un sinistre et de le rapporter au montant de cotisation annuelle.

Comment comparer les assurances auto ? Avoir une idée sur la qualité du service client

Étant donné que les compagnies d’assurance interviennent souvent lors de situations d’urgence, il est impératif que celles-ci soient disponible, d’où l’importance de se focaliser sur la disponibilité des assurances et à la qualité de leur service client. 

Points clés sur l’assurance vie

Retour sur les points clés à avoir en tête lors de la souscription d’une assurance vie. Mode de gestion, fiscalité, etc. nous revenons dans cette article sur les points essentiels à savoir.

L’assurance vie en 5 objectifs

L’assurance vie permet notamment de :

1) De se constituer un capital,

2) De faire fructifier son argent,

3) De diversifier son patrimoine en plaçant ses disponibilités,

4) D’échapper à une fiscalité trop lourde,

5) De récupérer tout ou partie de votre capital (en Fonds Euros) rapidement, que vous ayez un besoin ponctuel de liquidités ou la volonté d’accroître vos revenus de façon régulière.

Retour vers le Haut

Les modes de gestion… comment choisir entre gestion libre, sous mandat, profilée ou pilotée ?

Lors de la souscription d’un contrat d’assurance vie il vous sera généralement proposé différentes options de gestion : libre, sous mandat, profilée et pilotée.

Ce choix de mode de gestion est surtout valable sur les contrats multi-supports (par opposition aux contrats mono-supports qui ne proposent que des investissements en Fonds Euros).

La gestion libre : pour les investisseurs avisés qui maîtrisent les marchés financiers

C’est le porteur du contrat (et donc vous) qui déterminez sur quelles supports vous investissez directement votre épargne. Par opposition aux contrats sous mandat, les contrats libre multisupports s’adressent à des investisseurs connaissant les marchés financiers.

Dans un premier temps il faudra que vous déterminiez la répartition souhaitée entre Unité de Compte (également appelé “UC”), et Fonds Euros.

En pratique, cette répartition n’est pas / plus tout à fait libre – en effet, suivant les assureurs, on vous demandera peut-être un % minimum d’UC ou on vous offrira différents “avantages” liés à une répartition plus importante de votre investissement en Unité de Compte.

L’avis d’EpargneDirect

La raison est assez simple : le rendement des Fonds Euros sont en baisse constante depuis plusieurs années ce qui amène les assureurs à pousser vers une répartition plus orientée vers les UC. Attention, si les Fonds Euros sont garantis, les placements en Unité de Compte (SICAV, FCP, FCPI, Fonds Actions, Obligataires, Multi-Actifs, Alternatifs, etc.) sont beaucoup plus risqués car dépendant de la conjoncture économique et/ou des marchés financiers.

Quand votre choix se porte vers des SICAV ou des FCP les critères sont alors fonction de la composition du fond et de la qualité du gestionnaire. L’épargne est en effet investie sur des supports financiers qui ont chacun leur particularité : majoritairement actions françaises ou européennes, obligations, etc.

En gestion libre, il appartient au souscripteur du contrat de déterminer sur quel(s) type(s) d’actif il souhaite se positionner.

En principe, les multisupports comportent un fonds libellé en euros assorti d’un taux minimum garanti et d’un effet de cliquet qui interdit à l’assureur de reprendre un gain acquis. Les multisupports permettent de réaliser une opération de gestion patrimoniale globale puisque le souscripteur peut investir dans des Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (ou OPCVM) du monde entier.

Le souscripteur détermine sa propre stratégie d’investissement et procède à la ventilation de son épargne parmi les supports financiers proposés au contrat, selon sa propre connaissance des marchés financiers. De fait, le souscripteur ne bénéficie pas de la connaissance des marchés financiers d’un gestionnaire, puisqu’il lui appartient également de réaliser les arbitrages en fonction de l’évolution des marchés.

Pour une performance optimum, le souscripteur de ce type de contrats doit donc être attentif aux opportunités des marchés financiers et avoir de bonnes connaissances en matière d’environnement et de produits financiers.

L’avis d’EpargneDirect

Retour vers le Haut

La gestion sous mandat : pour les “gros” investisseurs souhaitant confier à un professionnel le choix des allocations

La gestion sous mandat consiste à donner à un professionnel de la finance la gestion de l’épargne placé en assurance vie. C’est donc ce tiers (le “gérant”) qui va notamment choisir les allocations entre UC et Fonds Euros et effectuer les arbitrages au fur et à mesure du temps.

L’intermédiaire va déterminer le profil de risque de son client (Fort, Moyen, Faible, etc.) afin de pouvoir déterminer ensuite les choix d’investissements. Le mandat est donc généralement individualisé et discuté en amont de sa conclusion.

Ce contrat de mandat d’arbitrage sera signé avec une société de gestion (souvent une banque privée) qui devra vous indiquer clairement les frais associés à sa gestion (frais directs et indirects). Cette dernière aura également l’obligation légale de vous communiquer un récapitulatif annuel consolidé des différents frais attenant à la gestion de votre capital.

La gestion sous mandat est donc soit plutôt orientée pour des montants d’investissements très importants soit pour un investisseur ne souhaitant pas intervenir dans la gestion en échange d’une commission.

L’avis d’EpargneDirect

Retour vers le Haut

La gestion profilée

Dans ce type de gestion, l’intermédiaire financier vous propose de choisir parmi des profils types prédéterminés qui ont généralement des noms assez parlant (par exemple “prudent”, “équilibré”, “dynamique”, “audacieux”).

Retour vers le Haut

La gestion pilotée

Cette gestion consiste à confier à l’intermédiaire le soin de gérer le contrat d’assurance vie. C’est lui qui va notamment effectuer les différents arbitrages (ou choix d’investissement ou de désinvestissements).

Retour vers le Haut

Conclusion : l’assurance vie, un outil d’épargne à différentes facettes

– L’assurance vie, la solution pour bénéficier d’une fiscalité avantageuse
Une imposition de vos plus-values limitée,

– L’assurance vie : un outil de transmission et de protection du patrimoine
L’assurance vie est en effet un outil d’optimisation de la transmission de son patrimoine évitant dans de nombreux cas des droits de succession. L’assurance vie permet également de privilégier certaines personnes et d’assurer l’avenir de sa famille, ou de ses proches, indépendamment des liens matrimoniaux ou de filiation.

– L’assurance vie peut enfin, garantir ou rembourser un emprunt

Retour vers le Haut

La fiscalité de l’assurance vie

Fiscalité et assurance vie. Exonération ou imposition ? Les critères à prendre en compte sont multiples suivant les cas de figure et l’ancienneté de votre contrat.

Les plus-values

En cas de rachat total ou partiel d’un contrat à partir de sa huitième année d’existence, les intérêts sont exonérés dans la limite de 4 600 Euros par an pour une personne seule (ou 9 200 Euros par an pour un couple).

Au-delà de ce montant, les plus-values sont soumises à imposition.

Les intérêts peuvent être soit intégrés au revenu* soit soumis au prélèvement forfaitaire libératoire* au taux de 7,5 %.

En cas de rachat pendant les 8 premières années, les intérêts sont intégralement assujettis à l’impôt sur le revenu* ou au prélèvement forfaitaire libératoire*.

Le taux du prélèvement forfaitaire libératoire sera de 35 % si le rachat intervient dans les 4 premières années et de 15 % si le rachat s’effectue au cours des 4 années suivantes.

*plus application des prélèvements sociaux lors du rachat du contrat (partiel ou total).

Les droits de succession

Pour transmettre un capital, l’assurance est la solution idéale en cas de décès.

Avant 70 ans, les sommes versées et les intérêts sont exonérés des droits de succession à hauteur de 152 500 Euros par bénéficiaire. La fraction excédentaire est soumise à un prélèvement de 20 %. A partir de 70 ans, seules les primes versées excédant 30 500 Euros sont assujetties aux droits de succession.

La non-imposition des arbitrages

Les arbitrages réalisés dans le cadre de la gestion de ce type de contrat ne sont pas considérés comme des cessions de valeurs mobilières et échappent, de ce fait, à l’impôt.

Les plus-values automatiquement réinvesties sont également exonérées d’impôt.